Un,
deux, un deux… Le micro reste ouvert.

Pas de décor, pas
d’accessoire
.

Juste
un flow créatif qui se déverse, se dévide, se dévoile et se développe.

Un
corps qui clame, déclame, se calme, réclame, s’exclame devant un public qui
l’écoute, et qui l’acclame.

60,
61…

Un
art de la parole et de l’écrit : le slam.

Des
hommes, des femmes, de tous âges, de toutes origines et de tout bord : les
slameurs.

Sexprimer
de mani
ère libre et sans contrainte : « slamer ».

Poésie
urbaine dans un espace de dialogue et de création, un espace dépourvu de
frontières. Un univers de mots, de phrases, de sens et de sons… Silence…

120,
121… Reprise ! Tictactictac, le temps passe. Les esprits s’ouvrent. Sur le
plateau, les propositions s’enchaînent au fil de la soirée.

178,
179… Stop !

Un,
deux, un deux… Au suivant ! La scène est ouverte. Le Slam, c’est libre. 

Portes
Début